Ralentissons nous-mêmes la ville !
Je persiste à penser qu’il y a des villes comme Lausanne, où les gens roulent comme des fous. Dans les quartiers d’habitation, devant les écoles. La désolidarisation, l’individualisme exacerbé, l’absence de toute courtoisie est devenue la marque de fabrique de cette société capitaliste. Au volant, cela a des conséquences directes: l’Autre n’est plus qu’un intrus, un gêneur. En attendant que les pouvoirs publics prennent des dispositions légales et édictent un code de la rue: 30 km ou 20 km à…